A l’ouest de la Nationale 83, le paysage est différent.

        Nous sommes ici à l’ouest de Guémar, au delà de la Nationale 83, dans la plaine d’Alsace. En été, les agriculteurs y cultivent beaucoup de maïs. Il a besoin d’énormément d’eau, d’engrais, de pesticides et de la chaleur du soleil pour bien pousser. Pour l’irrigation de ces cultures, l’eau est directement pompée dans la nappe phréatique. L’eau du château d’eau qui alimente notre commune est également puisée dans la nappe phréatique. Il faut donc veiller à ne pas polluer cette ressource avec les produits chimiques épandus sur nos cultures.

Les conséquences sur la faune et la flore de la culture intensive du maïs

        Comme l’homme a détruit beaucoup de forêts, de prés, de haies, il a détruit l’écosystème naturel de beaucoup d’animaux mais aussi de végétaux. De moins en moins de pics, de hérissons, de papillons, de faisans vivent dans nos campagnes. Même des plantes tel le pissenlit se raréfient… D’autres espèces animales au végétales profitent de la monoculture du maïs pour se développer et envahir nos cultures : par exemple le campagnol et le liseron.